En 1863, lors de la séance du Conseil Municipal du 8 novembre, le Président, après avoir déclaré la séance ouverte, avait déposé sur le bureau un devis supplémentaire de nouveaux travaux à exécuter dont un, en plus de celui du cimetière, au logement de la pompe, l’ancien étant totalement en ruine.

 

Il indiquait,

- que le mur de soutènement entre le logement de la pompe en construction et la cour de la mairie, contre toute attente, se trouvait totalement gelé,

- que le logement que l’on avait approuvé contre le dit mur ne pourrait être terminé qu’autant que ce mur serait totalement rétabli,

- que la couverture en tuile creuse prévue au devis primitif, eu égard au peu de pente disponible, ne pourrait être employée sans de graves inconvénients, qu’il serait infiniment sérieux d’employer du zinc afin de pouvoir dans l’espace limité que l’on possède, faire une remise gracieuse et commode et solide.

 

Le maire avait invité son conseil municipal à examiner les devis de ces nouveaux travaux dressés par un architecte de Troyes s’élevant à la somme de 109 francs 44 centimes.

 

Le local actuel a donc plus de 150 ans...

 

Cette remise risquant de voir sa toiture s’effondrer, des demandes de travaux avaient été faites depuis bien longtemps.